C'est rendu au village, en pleine nuit, que Calypso chercha un coin perdu pour s'abriter. Elle croisait les doigts pour que personne ne la voie. Elle détestait être en disons, publique. Pour aucune réson de honte. Elle était juste...faite comme cela. Sa vie était un très grand monde de secret. Il y a maintenant un bon trois heures quelle marche et elle n'a toujours rien trouvée. Où ira-t-elle? Depuis ses douze ans, Calypso vit dans la fuites. Elle n'orait jamais du quitter l'orphelinat. Là ou même si elle aurais mille ans on la garderais, nourrieserais et prendrais soin d'elle. Mais il était trop tard.Ce la fais maintenant cinq ans. Elle doit continuer.
Elle marcha pendant un bon bout de temps. Elle marchais dans casiment toute les rues du petit village. Peu de lumière était allumée dans les maisons et aucune était inhabitée. Calypso n'en pourras plus pour longtemps a marcher comme cela, où rien n'y mène au bout du chemin. Elle n'avais pas peur des gens, elle était plus un souffre-souffrance, une personne habituée a souffrir seule dans son coin. En touca, ce n'était certainement pas elle qui allais voir les gens pour leurs parler, sauf pour indication, ou autre truc du genre.
C'est alors, perdu dans ses pensée, qu'elle trébucha, accrochée dans une pierre. Ces paumes lui firent très mal et son pantalon fu troué, a la base des genoux. Elle se releva avec un peu de difficultée, et vis une maison abandonnée. Pour l'instant, Calypso en jugea qu'elle était parfaite pour elle. Elle avança tranquilement vers la maison abandonner, puisqu'elle était dison, blessée au genoux.
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Je m'approchai bientôt de la poingnée d'une des chambrettes. Un grand lit poussiereux n'ayant été utilisé depuis quelques année. Il y avais aussi deux meubles de bois massif, en bois véritable. J'entrai alors dans la salle de toilette, bien sûr, un bain ainsi qu'une toilette et un lavabeau y était installer. J'essaya voir si l'eau fonctionna toujours, au début, l'eau était rouillée, mais fini par être coerrect; j'en fût contente.Les fours de la cuisine était tous brisés. Donc inutilisablent. Avant que le soleil ne se lève , je me dépêchai a mettre dans les poubelles ceux-ci, ainsi que la vaiselle brisée. Quand l'astre lumineux monta au ciel bleu, je me dépêchai de rentrer a l'intérieur et allumai des chandelles, que j'éteind tout de suite après, par peur que les gens du village ne voient que cette maison est desormais habitée. Je sortis un livre et je me mis a gribouillé des dessins à l'intérieur. Ainsi se passa ma première journée, où j'attendis patiement la nuit pour enfin sortir me nourrir.