Une réaction innatendu(pv: Balthazard)

Seul dans la nuit sombre, le fantôme lévitait comme un mort et passait à travers les murs de maisons. Il avait la mine lasse et la tête basse. Il se sentait invisible et impuissant. Il s'était nettement habitué depuis le début, vrai, mais ceci le faisait souffrir. Pas souffrir physiquement mais bien mentalement. Cela faisait déjà plusieurs années qu'il ne rescentait plus rien. Il ne connaissait plus la douleur ni la peur d'ailleurs puisqu'il avait appris à les contrôler en regardant les gens faire. Il traversa facilement la muraille de bois et poussa un soupire d'ennui. L'ennui était son seul ennemi. Il était coincé dans le monde terrestre pour la fin de ses jours. Son existence était tel un cercle vicieux. Il ne pouvait rien faire, ni parler, personne ne le voyait ou l'entendait. Le mort allait finalement quitter le village pour de bon mais une intense douleur le prit par surprise. Il s'écroula à genoux en hurlant ses souffrances à qui pouvait l'entendre. Il ferma ses yeux par la douleur et ramena ses deux mains à sa pointrine qui serraient fortement sa tunique. Il se sentit alors aspirer vers un endroit mais cela n'aidait pas du tout cette torture. Il avait oublié les senssations que procuraient la douleur et celle-ci était vive voire nouvelle ce qui doublait les souffrances.

Après un moment, il réouvrit ses yeux par une douleur moins intense et se vit dans les bras d'un démon. Mais pas le temps de se demander qu'est-ce qu'il faisait là, il fut alors pris de panique par le manque d'air. Il prit alors sa première bouffée d'air de sa deuxième vie. Il respira rapidement pendant un moment mais remarqua alors qu'il y avait quelque chose qu'il ne fonctionnait pas. Balthazard porta alors sa main droite à son coeur. Il y avait un trou béant et saignant. La puissance du Diable l'avait donc laisser mort et la puissance du sorcier l'avait alors empêcher de quitter le monde terrestre ? Il était nu comme un ver, mais bien vivant. Il regarda alors ses mains d'un air ébahi.

- Je...je suis vivant ? murmura-t-il.

Il n'en revenait tout simplement pas. Il leva alors la tête vers le visage du nécromancien qui venait de le récussiter.

Pour l'instant, être aux ordres de quelqu'un était frustrant pour lui mais Balthazard était bien trop surpris de sa résurection qu'il n'y porta pas attention. Il mit finalement pieds sur terre et attrapa la cape du démon. Il s'enroula dedans et alla s'assoir sur une pierre tombale non loin de l'arbre dont son nouveau maître s'était assis.

- Quel est ton nom ? lui demanda son maître d'un ton autoritaire.

L'ancien fantôme jeta un coup d'oeil au ciel et réfléchit. En fait, cela faisait tellement longtemps que personne ne lui avait parlé ou même prononcé son nom en guise de prière qu'il l'avait presque oublié. Après un moment, il rabaissa la tête et regarda le nécromancien.

- À ce que je me rapelle, je m'apelle Balthazard.

Balthazard n'ent revenait tout simplement pas que le démon pouvait faire un tel prodige. Les sensations du monde réel le faisaient frémir. Le vent, le paysage et la texture des choses. C'est alors qu'il se rappela de ce que le nécromancien avait dit.

- Mais... Que voulez-vous dire par que nous sommes liés ?

HJ : Bon d'accord c'est nul comme poste mais tu me donnes pas d'infos.

Ses yeux était froid et déconcertant. Il suivait du regard le jeune homme dans ses moindres mouvements. Lorsque celui-ci s'assied sur l'une des pierre tombale, il se mit à réfléchir. on aurait dit qu'il ne se souvenait plus du tout de son nom. À croire que cela faisait vraiment longtemps qu'il avait perdu la vie.

- À ce que je me rapelle, je m'apelle Balthazard, finit-il par lui dire.

Il le regarda avec de grand yeux étonner. Leur nom se ressemblait étrangement. C'était sûrement le destin qui en avait décider ainsi et peut-être même que le fait que leur nom se resemble beaucoup aussi fut fait par exiprès. Balthazard se demandait sûrement pourquoi Zébu faisait cette tête. Il ne voulait en rien au monde lui cacher des trucs puisqu'il allait sûrement pris ensemble pour un long moment.

- Je suis Belzébuth, mais si tu as quelques choses à me demander n'hésite pas.

Un vent frois s'éleva alors dans le ciel. Même si il avait l'apparence d'un démon, il pouvait quand même ressentir cette brise nuptiale. La nuit devenait de plus en plus fraîche. Il ne se doutait pas du tout que ce jeune homme pensait à ce qu'il venait de faire. Pour lui réssusciter les gens était tout à fait normal. Il avait toujours ignoré pourquoi les hommes craignaientt les nécromanciens. Peut-être parce que cotoyer la mort tous les jours n'était pas normal pour eux?.

- Mais... Que voulez-vous dire par que nous sommes liés ? demana Balthazard.

- Quand je capture un âme, je peux lui faire faire ce qu'il me plait. Je peux aussi le détruire complètement sans qu'il puisse trouver leur repos éternel. Donc je détient ta vie entre mes mains et tu ne veux pas mourir, car tu sera détruit complètement tu ne connaîtra pas le repos que tu mérites.

(Hj: Je sais pas moi c'est quoi tu veux comme détail, t'as juste à inventer aussi <.<)

Belzébuth lui expliqua sa situation d'un calme déconcertant. Tant qu'à lui, Balthazard leva sa tête au ciel et dégagea une de ses mèches de cheveux du bout de ses doigts. Il se doutait que le nécromancien n'allait pas être bien sympathique avec lui mais il était vivant. C'était tout ce qui importait. Perdu dans les étoiles, il soupira et respira l'air frais qui lui passait au visage. Sa résurrection avait été très douloureuse mais ça en valait le coût. Il rabaissa finalement ses yeux, qui avaient repris ses couleurs d'origines, sur la personne à qui il devait maintenant tout. Un léger sourire aux lèvres, il dévorait le paysage des yeux et goûtait aux nouveaux plaisirs de la vie. Il se leva et marcha jusqu'à Belzébuth. Même si ses apparences étaient monstrueuses, il se doutait qu'il n'était pas réellement méchant. La preuve qu'il lui avait dit son prénom sans qu'il le lui demande. Il avait étudié les hommes et les autres races pendant des années et des années. Une fois à ses cotés, Balthazard lui fit un sourire enjoué et s'adossa lui aussi contre le tronc d'arbre. Espérant que cela ne dérange pas, il planta son regard dans ses yeux et brisa le silence.

- Qu'est-ce qui vous accomoderait dans mon comportement ? Je me fiche un peu du repos éternel. Je suis en pleine vie aujourd'hui... ou presque.

Il regarda sa poitrine et mit sa main libre à la place de son coeur. La puissance du démon était trop forte pour lui redonner son coeur à ce qu'il voyait. De son autre main qui tenait la cape, il cacha sa marque de non-vie avec et releva la tête vers le nécromancien. Les textures du tissu, de l'herbe sous ses pieds et de la brise... C'était si bien. Il ne pouvait s'empêcher d'avoir un léger sourire au bout des lèvres. Balthzard prit une grande respiration et passa une main dans ses cheveux.

Balthazard suivit des yeux chacun des mouvements de Belzébuth tranquillement en se calmant contre le tronc d'arbre. Il se fichait un peu de ce qu'il avait dit puisqu'il n'allait surement pas contester ses décisions. Il venait de lui redonner la vie ! Il lui devait tout. Finalement lorsque les préparatifs furent terminés, son nouveau maître lui dit de venir pour une certaine raison pressante et inconnue. Il ne broncha pas, il se leva rapidement tout en tenant la cape sur lui.

- Où allons-nous ? demanda le mort-vivant, le sourire aux lèvres.

Il était bien rare de le voir sourire puisqu'il avait eu une enfance difficile et qu'il s'était fait tué par un démon surpuissant. Mais pour l'instant, il était revenu à la vie et il devait tout au nécromancien. Belzébuth avait peut-être des allures démoniaques mais sa façon de parler n'était pas tout à fait méchante. À croire qu'il avait eu une vie difficile lui aussi. Le mort-vivant suivit son maître et regarda le ciel. Il ignorait quelle l'heure il était puisqu'il avait perdu toute notion du temps. À quoi ça servait l'heure si tu ne mangeais pas et dormais pas ?

N'opposant aucune résistance, Balthazard suivit le nécromancien sans hésitation. Il n'avait pas peur de la mort et ni de la souffrance alors si c'était dans ses plans de le torturer, il s'en fichait un peu. Il regarda alors les couloirs et les portes d'une sorte de grotte pendant qu'il marchait aux cotés de l'ange déchu. C'était bien étrange. Il avait l'impression de s'enfoncer dans les entrailles de la terre. Rien de grave ! Il avait déjà été plus proche que jamais d'un démon qui pouvait l'envoyer directement en enfers. Après un moment, ils débouchèrent sur une pièce qui semblait être sa chambre. Il s'arrêta et inspecta des yeux la pièce. Ce n'était pas bien grand et il n'y avait qu'un mobilier ; un lit. Peut-être aurait-il l'air poussérieux et infecte pour un humain mais à ses yeux, celui-ci avait l'air confortable et attirant. Cela faisait des années qu'il n'avait pas connu le repos ! Le mort-vivant s'avança alors d'un pas incertain vers son lit et s'y assit. Il remarqua alors qu'il y avait une pièce juste à coté où un lit était légèrement visible. Il n'avait donc pas confiance en sa " création " ? Il soupira et regarda les flammes de la torche danser dans tous les sens. Il n'attendait rien de son maître mais lui attendait surement quelque chose de lui. Que voudrait un nécromancien d'un mort-vivant ? Bref, il s'adressa alors directement et ouvertement à sa question.

- Que ferai-je en ces lieux, Belzébuth ?

Un chien-chien ? Un esclave ? Où allait-il le laisser libre ? Libre à faire quoi... Tant qu'à travailler pour survivre, il aimait mieux rester mort ! Pour plus de politesse envers le nécromancien, celui-ci se leva lentement et fit quelques pas en sa direction pour être face à lui. Son visage avait une expression faciale plutôt neutre mais son regard exprimait l'interrogation.

Hj : Alors Zebu... Si j'écrivais un peu en orange ? xD

Sans prévenir, son maître le frappa de plein fouet et le propulsa à terre tant que le coup était puissant. Il attérit finalement sur le dos en amortissant sa chute avec ses coudes orientés vers l'arrière. Il frictionna alors la marque déjà toute rouge avec le revers d'une de ses mains et posa ses yeux légèrement tristes dans ceux de Belzébuth. Il était un peu peiné qu'il l'ait frappé ainsi pour aucune raison déjà qu'il était à ses pieds puisqu'il lui avait redonné la vie. Malgré tout, la douleur fut délicieuse face à son manque de sensations depuis des années et des années mais il ne fut aucunement heureux face à la réaction de son maître.

- Je... je suis désolé.

Belzébuth se rua alors sur lui et le prit par le collet de sa cape en lui hurlant dans les oreilles. Se doutant qu'il allait être frapper à cause de quelque chose qui n'avait pas tout à fait compris, Balthazard garda le silence et ferma ses yeux pour s'attendre au pire. Mais la réaction de son maître ne fut pas celle à quoi il s'attendait. Toujours les yeux fermés, il sentit alors une main qui approchait son visage de celui du déchu. Il ne comprenait pas vraiment alors il ouvrit ses yeux d'étonnement. Pourquoi il ne le frappait pas ? Il commença alors à sentir la chaude respiration de son maître qui semblait frustré sur son visage. Les questions se multipliaient à une vitesse folle. Il ne comprenait pas vraiment ce qui se passait déjà que tous ses questions portaient à confusion. Comme pour le calmer, il sentit les lèvres de Belzébuth sur les siennes puis sa langue qui s'introduisait avec la sienne. Il était vrai que c'était très surprenant comme réaction de la part de son supérieur mais c'était plutôt réconfortant. Malgré tout, un baiser langoureux de la part d'un homme n'était pas réellement la bienvenue quoi qu'il n'avait jamais embrasser une femme non plus. Entre deux baisers. Balthazard parvint à articuler quelques mots.

- Â...Ârretez s'il vous plaît !

Il était tout rouge mais ses yeux exprimaient la confusion. Du revers d'une de ses mains les plus libres vu son maître au-dessus et lui, il essuya la sueur qui perlait sur son front. Il était à moitié nu et il ne pouvait pas réellement bouger. Les jambes de son maître entre les siennes ne lui donnaient que peu d'espace. Il mit alors ses mains sur ses épaules pour essayer de le décoller un peu de lui et exerça une légère pression pour ne pas le brusquer. Il lui devait tout son respect selon lui. Il essaya alors de se relever.

Hj : D'accord je dis pas beaucoup d'infos mais j'suis pogné.

Malgré ses oppositions, Belzébuth n'avait pas l'air de vouloir arrêter. Il ne lui chuchota à l'oreille qu'il ne lui ferait aucun mal. Ensuite, il recontinua à lui faire de langoureux baisers. Baltazard ne savait plus quoi faire. Cela ne faisait même pas une journée entière qu'il était revenu à la vie mais chaque minute ou même chaque seconde était délicieuse. Après une éternité pris sur le monde terrestre sans rien y changer, il était bon de retrouver la vie. Il ne voulait donc pas se faire détruire aussi facilement qu'une mouche par son maître. Il était peut-être doux comem un agneau en ce moment présent mais son orgueil était toujours le même. Disons qu'il aurait préféré être ailleurs. Il décida alors de rester calme et de faire selon les désirs brûlants de son supérieur. Il exprima d'abord son expression faciale. Le déchu avait l'air satisfait de lui mais la brutalité dans son coup pour le coller contre le sol pouvait facilement lui faire voir qu'il était impatient pour l'instant. Le mort-vivant avait longtemps étudier les manières des hommes comme passe-temps de son passé étant fantôme. Ressentant la main baladeuse sur son torse, Balthazard rougit par l'effet et l'attrapa par le poignet et de son autre main, repoussa Belzébuth avec la plus légère des pressions sur l'épaule. Assez pour l'empêcher de l'embrasser. Sa respiration était pas mal rapide sous l'effet d'une légère colère de se faire manipuler de la sorte mais aussi sous les caresses de son supérieur. Il lui dit alors d'une voix hésitante ;

- Non... C'est assez.

Il planta alors son regard à la fois furieux d'être manipuler ainsi par un homme en plus mais confus. Il ne savait pas comment son maître allait réagir. Il ne le connaissait pas très bien malgré qu'il soit froid avec des réactions innatendues. Faiblement chancelant, Balthazard se dirigea vers la sortie en se tenant aux murs de pierre taillée. Il préféra ne pas regarder derrière mais bien de regarder droit devant.

Balthazard ne fit pas long feu. Il se sentit attrapé par une forte poigne et brutalement poussé sur un lit. Il essaya de se relever tant de bien que de mal mais Belzébuth grimpa rapidement dessus et prit son visage entre ses mains. La seule chose qu'il put faire c'est de poser ses mains sur ses épaules pour l'enlever de là et de fixer ses yeux noirs. Ce démon avait l'air très déterminé ! Assez pour ne pas le laisser s'enfuir une deuxième fois. Il ouvrit la bouche pour laisser passer quelques mots mais les lèvres de son maître se posèrent sur les siennes et il se mit à l'embrasser langoureusement. Cette fois-ci, le mort vivant ne réagit pas par la fatigue. Il avait beau se débattre, ses efforts ne portaient jamais fruit. Il venait tout juste de reprendre vie. Il était faible, affamé, assoiffé et fatigué. Il n'était pas à son plus fort. Il arrêta de gigoter et se laissa donner ce langoureux baiser. Belzébuth lui déclara alors d'un air les plus déterminé qu'il serait à lui non par la force mais par sa propre volonté. Cette déclaration le troubla beaucoup puisque depuis qu'il était vivant qu'il se faisait manipuler de la sorte. Une fois ce moment de souffrance intérieure terminé, Balthazard se redressa et essuya sa bouche du revers de sa main. Il resta cloîtré dans son coin en ne disant plus un seul mot, ne désirant pas attirer l'attention de son maître qui cherchait quelque chose dans ses armoires. Finalement, son supérieur sortit des vêtements et alla s'assoir sur une chaise à son bureau surement. Voyant qu'il voulait qu'il s'habille, Balthazard prit le pantalon qui ressemblait étrangement à celui que Belzébuth portait et le mit en dessous de sa cape. Il arracha la cape à son cou et la déposa sur le lit pour ensuite couvrir son torse de la chemise à la couleur obscure unie.

Une fois habillé, Balthazard alla se voir dans la glace pour savoir à quoi il ressemblait. Cela faisait des centaines et des centaines d'années qu'il errait de village en village. Il avait beau se mettre devant un miroir, il n'avait aucun reflet. Ni dans la glace, ni dans l'eau. Bref, c'était nettement plus confortable qu'une vulgaire cape. Dès qu'il vit son reflet dans la glace, ce ne fut que surprise. Il ne se rappelait même plus à quoi il ressemblait et ceci était plus que frappant ! Il passa une de ses mains dans ses cheveux pour replacer une mèche rebelle. Il n'était pas du tout familier avec son reflet... Il jeta un rapide coup d'oeil à Belzébuth et se se tourna complètement vers lui pour aller se mettre à ses pieds. Que de soumission ! En fait, il aurait voulu partir loin de lui mais avant il avait faim et soif. Il ne pourrait pas courir bien bien longtemps et de toute manière, où allait-il aller ? Maintenant un genoux au sol, il jeta son regard dans le vide, la tête basse. Il était fatigué et il désirait bien que son maître le reconnaisse sauf qu'il avait l'air d'être une personne nocturne vu ses allures démoniaques. En plusieurs années, il en avait déduit que tous les humains avaient une petite crainte des démons voire plus que les humains. Alors il en conclut qu'il ne devait pas souvent sortir en plein jour. Toute sa vie, enfin le reste, dépendait de son maître donc il ne devait pas vraiment l'offusqué mais la manière dont il le manipulait le laissait perplexe. Il baffouilla.

- Je eum... je vais aller dormir...

Sur ce, il se leva lentement en fuyant les yeux noris de son supérieur et se dirigea à petits pas vers sa chambre. Il remarqua alors qu'il ne pourrait pas s'enfuir une fois de plus. Son maître pouvait le voir de sa chambre facilement et le rattraper plutôt rapidement.

Finalement, Belzébuth le prit dans ses bras et l'amena à sa chambre. Il avait un peu peur de ce qu'il allait faire mais il était bien trop faible pour se débattre ou faire quoi que se soit. Les yeux mi-fermés, Balthazard se fit déposer délicatement au sol juste après que son supérieur se soit débarassé de sa chemise. Un coup de vent plutôt froid passa ce qui le fit frémir. Il frotta un de ses yeux avec son poignet et bâilla pour ensuite accrocher chacun de ses bras avec ses mains opposées. Ce qui était bien, c'est que son maître lui avait laissé son pantalon ce qui le rassura de peu. Il leva alors son regard fatigué vers Belzébuth. Celui-ci avait ouvri les draps de son lit et se dirigeait maitnenant vers lui. Le prenait-il pour un objet sexuel ? Peut-être, peut-être pas. Il savait cependant que ce n'était que le début. Il se fit alors prendre docilement dans les bras de son supérieur et se fit déposer dans son lit. Les yeux mi-fermés, le jeune homme voulut se lever pour aller ailleurs mais sentit des bras l'enlacer tendrement au niveau de son ventre. Il sentit finalement la tête de son maître sur son cou qui lui susurrait quelques mots à l'oreille. Mais Balthazard avait la tête ailleurs.

Enfin, jamais personne ne l'avait enlacé et ce, depuis son vivant. Alors le fait que Belzébuth le minouchait le fit frémir. Il posa alors ses mains sur les siennes et essaya de les enlever. Mais bon, le fait de forcer dans le vide le fatigua. Il remonta finalement jusqu'à ses avants-bras. Il murmura les yeux mi-clos.

- Lâchez-moi

hj: Désolé d'mon tii poste de merde mais qu'est-ce que tu veux qu'il fasse...