L'haleine de la guerre [Événement libre]

[Tout le monde est invité à cet événement. Je ne crains pas qu'il y ait surpopulation.
Références: Deslik, le dieu de la cupidité ]

Drakarstyr, la deuxième plus grande ville après Montalvian qui est un véritable pays humains. Mais aucun bâtiment ne pourrait égaler la beauté et les hauteurs de Drakarstyr, la seule qui mêle les cultures, la flore et l'architecture des peuples. Un cadeau aux rubans d'or.

Drakartsyr était aussi lumineuse qu'une étoile, le soleil réfléchissait sur les écailles des dragons et sur les armures de humanoïdes. Bleu, le ciel était d'un bleu éclatant, malgré que le sol sentait encore la terre fraîche et la pluie. Tout le monde vaguait à leurs tâches respectives, que ce soit de s'occuper de l'entretien publique ou bien vendre, fabriquer ou acheter, travail et économie était au rendez-vous. Drakartsyr était une ville faite de bâtiments presque uniquement de pierres où tous espaces touchant un sol fertile était vert d'herbe, de fleurs ou d'arbres. Très vaste, il était d'une facilité incroyable de s'y balader. La force militaire n'était là que pour la protection des marchands et le maintien de l'ordre.

Soudain, le soleil se cacha, comme si toute lumière était devenue ténèbre. Seul les feux éternels de Drakarstyr, indénombrables, illuminaient la ville d'une lumière rougeoyante. Un nuage de fumé noire s'approchait lentement et s'immiscait sous les portes, pas réellement compacte, un peu comme des cendres en gravité. Un loup gigantesque sortit de ce chaos, tourbillon vivant de dragonniers et dragons de guerre corrompus ou bien ensorcelé, à moins que ce ne soit que de la terreur pure, rien qu'une illusion. Ce loup était haut comme un cheval et sa fourrure illuminait de mille feux. C'était bien la, là forme charnelle de Deslik, le dieu de la cupidité. Aussi impressionant soit-il, ce corps n'était que grand, car il avait ses besoins naturels et un métabolisme presque identique. Souriant avidement, Deslik s'avança sans crainte au milieu de la ville, aussi silencieux qu'un félin, alors que les dragonniers le suivaient. Dans un vacarme surprenant, il s'élança soudainement vers un étalage et le réduit en morceaux. À coup de langues rapides, Deslik avala les milliers de pièces qui se déversa. Une fois vidé, il rejeta la tête vers l'arrière et poussa un long hurlement, juste avant de gronder malicieusement vers les gens.

- Or ou âme !! Apportez votre richesse à mes pieds ou soyez dîner !!

Sur ces derniers mots, les meurtières de Drakarstyr se refermèrent en même temps, en un son lugubre. Dans le ciel, les dragonniers survolaient les tours avec précaution, crachant ça et là des jets de flammes.